littérature mafieuse
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LABYRINTHE
Absent une semaine, voici quelques liens pour les infatigables habitués de "Cinématique" :
Le cinéma tout d'abord, avec une remarquable mise au point sur "Notre musique", une bien belle revue là , un peu de Fritz Lang pas trop formaté ici et parce qu'il vaut mieux en rire, ceci.
Pour le reste, tous ceux qui ont retrouvé avec amertume ou colère, des phrases à la virgule près voire des titres de chapitres à l'intérieur d'ouvrages de "gensdelettres" bien installés ou en cours d'intronisation, quelques mois ou années après l'envoi naïf de leur manuscrit par la poste, sauront ce que peut ressentir Alina Reyes qui prouve, après Camille Laurens et quelques autres écrivains sensibles, que personne n'est à l'abri du pillage : c'est là et c'est sans appel.
Perspectives aiguës au Café, sur cette note cinématique en diable.
Sinon, pour finir sur une pointe d'exaspération, j'observe que tout comme ces couturiers et ces "figures politiques de premier plan" venant se pousser du coude à l'exposition "Dada", tout comme Sollers baisant les pieds de Debord, Christophe Honoré claironnant Eustache, des blogs couverts de pin's, de lampions et de clignotants, fébriles à l'idée de vendre un coussin péteur en l'honneur du Darfour, osent, toute honte bue, parler de pataphysique ou d'écriture de roman...