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marc lavoine

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    Elle se glisse jusqu'à lui sans l'inquiéter, à caresses mesurées, mais une fois contre son dos, elle ne se retient plus, dans son oreille les reproches fusent, agrémentés de souvenirs épars, vaguement tristes, parfois doux, inventés sans doute. Au matin, elle reste longtemps à le regarder dormir.

    Ensuite sa journée commence : le Lindt amandes, la chronique de Nelly Kapriélan dans les Inrocks, l'organisation bohème de son week-end à Paris (sans Grand-Palais cette fois), Christian, le Parc puisqu'une pluie fine est au rendez-vous, le dernier Laure Adler qu'elle aura bien la force d'ouvrir.

    La soirée devant la télé la met en rogne : Le Japon et Outreau (comme s'il n'y en avait jamais assez), l'interview manquée de Caroline Fourest (plus mordante avant quand même) et puis au moment de se rabattre sur un bon Polanski, sa soeur qui appelle et qui lui fait manquer les plans les plus malaisants pour des broutilles (le lumbago de leur père, la nouvelle conquête cachée de son beau-frère). Heureusement ensuite, Marc Lavoine jusque tard dans la nuit.

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