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Ayant envoyé il y a deux mois une nouvelle à la revue Rue Saint-Ambroise, j'ai eu l'heureuse surprise de la voir sélectionnée pour faire partie de leur numéro 26. Celle-ci fait partie d'un recueil de nouvelles portant sur la cinéphilie maladive, sur l'art cinématographqiue considéré comme emprise mortifère...

Cet envoi à tout hasard faisait suite au silence persistant d'une maison d'éditions et au refus de deux autres (une réponse brève truffée de fautes, griffonnée sur un formulaire de refus pré-rempli ; quelques lignes jugeant mal assortis un personnage et un décor, alors qu'ils faisaient partie, chacun, d'un texte différent).

Malgré les passe-droits et les connivences, les boutiquiers et les imposteurs, les réseaux de toutes sortes, il est donc encore possible, parfois, sur certains supports, de publier un texte sans être du sérail germano-pratin ; il est toujours bon de le vérifier par soi-même.

Lien permanent 3 commentaires

Commentaires

  • Belle nouvelle!
    Vrai, le témoignage en première personne est libérateur, pour soi et pour autrui.

  • J'ai bien envie de la lire cette nouvelle, mais pas de numéro en commande pour l'instant sur leur site...

  • Et c'est sans doute, chère Marie-Hélène, le seul qui vaille.

    Mais cela viendra Tristana !

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