Les politiques ? Prêts à rien puisque d'accord sur tout.
Les journalistes ? Vertueux sans morale et vicieux sans génie.
Les critiques ? Autant soucieux d'être en avance que fiers d'être en retard, jamais au coeur.
Les artistes ? Prompts à divaguer dans le rang.
Au temps des mémoires courtes, il n'y a plus de visionnaire. Et pas davantage de chef, sinon de meute.