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eloge de l'amour

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    Dans Hadewijch, Dumont tient à montrer, comme Alain Badiou dans son Eloge de l'amour, que l’amour fusionnel joue en quelque sorte contre le monde. «L’amour total» que Céline voue au Christ, cette recherche désespérante d’une unité impossible, la fait passer à côté de Yassine qui pourtant lui tend la main, la force à ne pas se nourrir malgré la faim, ne pas se protéger du froid, ne pas faire attention aux visages des passagers du métro avant son geste insensé. Lorsqu’on est tout entier dans la philosophie de l’Un, tout entier dans la souffrance de l’humiliation ou la volonté de puissance, quand l’on remet son corps entre les mains d’autrui à défaut de savoir l’habiter, le monde autour peut bien s’écrouler.

    Insomnie vers deux heures du matin : il me restait cinq heures pour écrire un roman, l'imprimer et le poster, ce qui était bien suffisant, mais impossible de me souvenir du mot de passe qui déverrouille l'ordinateur. Le cherchant, je me suis rendormi.

    Elle a des jambes étonnantes, une nuque inhabituelle, des seins inattendus et une démarche rare ; pourquoi faut-il qu'elle ait un phrasé si commun ?

     

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