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le héros sacrilège

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    Ce n'est qu'à force de lui crier "je t'aime" en toutes occasions qu'elle avait fini par s'en persuader, mais une seule pensée négative à son encontre a suffi pour qu'elle s'en déprenne.

    Parmi les mots d'ordre contradictoires dont les médiatiques font leur miel, il y a tout à la fois la promotion de ceux qui "assurent" et le respect pour ceux qui savent "lâcher prise". Il faudrait être un battant adepte du carpe diem, un nonchalant qui tire son épingle du jeu, un philosophe activiste...ou un nietzschéen de gauche. 

    La séquence finale du Héros sacrilège de Mizoguchi : "amusez-vous, riches ! Demain nous appartient !"

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