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RECLAME

Le tenancier de ce blog, pour des raisons obscures mais en grande partie professionnelles, se doit de quitter la France pour Chicago et pour une semaine.

Il en rapportera d'impérissables choses vues et de savoureuse piques anti-américaines qui font en général la joie de ses lecteurs les moins regardants, une dizaine de photos à contre-jour du meilleur effet, et souhaitons-le, une plongée sans concession dans quelques salles de cinéma underground.

Pour supporter cette absence, ceux-ci pourront d'ailleurs prolonger leur lecture en tentant par tous les moyens de se procurer son petit essai, qui vient de paraître chez Alexipharmaque : "Le cinéma ne se rend pas".

Pour le reste, tout s'écroule et afin de ruiner même les ruines, il ne reste qu'à construire, comme le suggérait Jarry, "des édifices bien ordonnés".

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Lien permanent 9 commentaires

Commentaires

  • Félicitations Ludovic ! Il va falloir que j'arrive à me procurer ce livre. J'ai déjà hâte de le lire...

  • Le titre fait preuve d'un bel optimisme. Bon voyage, Chicago, évidemment, ça fait rêver. mes amitié au fantôme de Scarface.

  • Voilà une idée bien originale - on vous jugera noir et mordant.

    Vous aurez donc déjà été de retour, quand cette prolongation me sera devenue possible.

  • Félicitations pour votre parution. Un jour Montalte disait sur son blog, en substance, qu'une ligne de séparation démarquerait bientôt ceux qui auraient accédé à la publication et les autres. Vous, vous avez touché la rive, c'est bon. Et votre roman, l'avez-vous repris?

    Bien à vous.

  • Et bien pourquoi pas la Fnac, dr Orlof, vous y découvrirez un joli lapsus !

    Vous ne croyez pas si bien dire, Préau, dans un petit chapeau d'Eléments, on parle déjà de "livre noir" et c'est bien fait pour moi.

    Ah, Ornithorynque, ce roman, quelle mémoire vous avez ! En fait, il est peu loin de moi, à force de m'avoir déçu. Je me suis rabattu sur un certain nombre de nouvelles mais avant de les proposer à un éditeur, je me dis qu'il y a tant de maisons prêtes à me les refuser, que l'embarras du choix me fait encore hésiter.

  • "Le cinéma ne se rend pas"

    Pourquoi pas "La chevauchée fantastique", "La charge héroïque", "La poursuite infernale" ? C'est très fordien comme titre.

  • Très "cambronnien" aussi...

  • Et bien , je constate une fois de plus que les visiteurs de ce blog ont des lettres !

  • Deleuzien aussi, car ces deux références semblent ne couvrir qu’un seul sens de l’expression.

    Ma remarque, bien sûr, ne portait, et sur un ton qui voulais être le même, que sur vos promesses de récit de voyage !

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