Il est des films qui se veulent à toutes forces novateurs, qui le signifient à chaque plan, surenchérissent aux raccords, insistent au découpage. À force de désencombrer, utilement, le cinéma de ses derniers lambeaux de psychologisme, ils en viennent à retrouver, du fait de l’absence minutieuse de structure et de l’absence consenti d’intrigues, les mêmes impasses qu’en son temps le « Nouveau Roman »
(La suite sur Kinok)
Commentaires
J'ai revu un peu de "Ma nuit chez Maud"... je rapproche plus ce film de Montaigne que de Pascal (l'un et l'autre me transportent ) de même que ces deux personnages...pour continuer...
Oui, Montaigne, c'est un film qui en est imprégné, dans son propos et ses choix de mise-en-scène même, alors que le Jansénisme de Vincent Dieutre, c'est le dossier de presse qui en parle le mieux ...