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zadig

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    Il ne cesse de donner son avis sur le Japon, la télé-réalité, la Libye, le réchauffement climatique ou les femmes qui se font refaire le nez. Il refuse de faire des concessions et se fout du qu'en-dira-t-on. Le politiquement correct, ça commence à bien faire. C'est un esprit libre, voilà tout, un refuznik de l'intérieur, un barbare sous les lambris. Et sa victoire est proche : il retrouve déjà dans l'éditorial du matin et chacune des chroniques du soir, des opinions aussi intempestives que les siennes. 

    L'homme n'a jamais le choix, sauf peut-être en ce qui concerne le jour exact de sa naissance, et encore...

    Tout le monde se félicite de l'inculture de Frédéric Lefebvre, qui n'aurait de cesse de parcourir, le soir au coin du feu, son "Zadig et Voltaire", mais qui se souvient de cet éminent homme politique se targuant de revoir régulièrement "Monsieur le Maudit" ?

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