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FAUSSES FENETRES

Il fut un temps où ce que l'on croyait avoir vu comptait moins que ce que l'on désirait voir, où les faits forcément mensongers avaient moins d'importance que les rêves toujours neufs.
Et puis, vint le temps des pisteurs, de ceux qui à tout instant élucident. Il fallut à leur suite croire aux nouvelles, faire rendre gorge au moindre plan, pénétrer au fond du champ, là où la trappe enfin coulisse.
Tout y était sans bavure, et sans plus la moindre échappée.

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Le silence, d'Ingmar Bergman

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Première désillusion, de Carol Reed

Lien permanent 3 commentaires

Commentaires

  • Les morts sont au travail.

  • Du "Mirage de la vie" (imitation of life) à la télé-réalité, en quelque sorte... Ludovic, vous nous parlerez un jour de Douglas Sirk?

  • Je suis justement en train de visionner le coffret de quatre de ses films hollywoodiens !

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