Le lecteur peut se demander quelle distinction je fais entre la féminité vraie et la mascarade. En fait, je ne prétends pas qu’une telle différence existe. Que la féminité soit fondamentale ou superficielle, elle est toujours la même chose. (Joan rivière, La féminité en tant que mascarade, 1929, cité ici)
Une femme qui a un amant est un ange, une femme qui a deux amants est un monstre, une femme qui a trois amants est une femme. (Victor Hugo)
Commentaires
Tant de mystères levés en si peu de mots : le sexe des anges, le visage du monstre et l'identité de la femme. Réjouissons-nous, le mystère, lui, reste entier.
Quelle belle liaison cinématique entre ces trois films ! Oui, le mystère reste entier comme le regard de Kathleen Byron l'assure.
Abstraction faite des illusions d'optique, Isabelle, une seule de ces trois femmes n'est d'ailleurs pas un ange.
La première image, c'est "A matter of life and death" de Michael Powell ? (film magnifique, dont j'ai imprudemment prêté le DVD je ne sais plus à qui...) Je n'identifie pas les deux autres...
Oui, Damien, un film magnifique comme tous ceux que j'ai pu voir à ce jour de Powell. Le second est l'ingénieux "Dellamore, Dellamorte", film de zombies décalé de Michele Soavi et le dernier, le piteux "Angel A" de Luc Besson.
Bonjour
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Bonne continuation