Des trémoussements de Clavier aux grimaces de Merad, de l'abus de personnalités de Garcia aux trois facettes et demi de Dujardin, du gros trait de Dupontel au rire gras de Jugnot, il ne faudrait pas croire que le faible niveau des comédies françaises d'aujourd'hui corresponde à un quelconque déclin. Des Branquignols jusqu'à Etienne Chatilliez et de Gérard Pirès à Claude Zidi, il existe dans notre pays une véritable tradition de l'historiette sans âme mais au rythme soutenu, de la situation cocasse annoncée bruyamment, du gag qui tombe à plat tout en disant long (...)
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Commentaires
Merci pour cette critique qui dit avec infiniment d'acuité pourquoi j'aime tant les films de Mouret, que je ne regrette décidément pas de vous avoir conseillés avec insistance !
C'est vraiment à vous que je dois cette rencontre, je n'y serais jamais allé sans votre insistance ! ...
Il m'en reste trois à découvrir, les avez-vous tous vus ?
Très bonne critique, le lien entre Mouret et Marivaux me paraît très juste : la présence du tiers-aimant.
Connais pas mais irais voir !
Bon blog !
Merci Philibert, le tiers-aimant, je retiens...
Bonne initiative, bonifacio !