Elle est quelconque, il est très beau, longeant le quai sous le même parapluie ; à voir comme il la dévore des yeux, on comprend vite qu'il lui a tout volé.
Au nom de quoi voudrait-on que le romancier Houellebecq s'inquiète de l'unanimité qui le sacre, de cet engouement excessif et tapageur ? Au nom de ses personnages qui exècrent ce type de liesse ? Belle confusion des rôles.
Je préfère avoir tort avec Brisseau que raison avec François Ozon.
Commentaires
J'adore le 26 : trois fois bravo !
Houellebecq est en somme plus fat que ses romans ne le laissaient supposer, c'est cela ?
Il est vrai que l'engouement commence à nous les briser menues ! Pour reprendre votre statut Facebook du jour, qui m'a bien amusé, nous faisons preuve d'une belle maîtrise de soi ces jours-ci, en demeurant houellebecquiens...
Merci bien Jérémie.
Pas exactement, flibuste, mais ce ne sont en effet pas ses personnages qui sont aujourd'hui couronnés.
Il faut tenir bon, Tantvieux !
Alors vous n'êtes pas Catherine Deneuve, Ludovic Maubreuil ?
Si, si, elle je lui pardonne presque tout (content de vous revoir, iPidiblue)