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"L'indignation est un péché plus grave que le mensonge", disait Abellio. C'est d'ailleurs sans doute pour cela qu'elle le recouvre si bien.

Elle ressemble soudain à Audrey Hepburn, le temps d'une pause inattendue, et puis sa hâte la reprend et voilà déjà l'illusion défaite.

Grey's Anatomy. Une série baudrillardienne qui ne tourne qu'autour du polymorphisme de la séduction, avec de ce fait des discussions à deux ou trois intervenants toujours extrêmement découpées, variant les sentiments à l'infini, et des scènes de sexe monotones à l'excès (plan fixe de six secondes où le couple en gros plan se heurte à un mur, parfois une grille).

Lien permanent 7 commentaires

Commentaires

  • Grey's Anatomy. Une série pour salle des profs pour éviter d'avoir à parler avec ses collègues ou avoir justement un sujet de discussion facile et abordable immédiatement...

  • Oui ! Une série sur la séduction destinée à s'en éviter les tourments...

  • Exactement !
    L'amour vu comme un repos après le travail.

  • Sans doute avait elle eu devant les yeux quelque chose qui ressemblait à l'exquise délicatesse et tout à coup elle comprenait que rien ne pourrait le ressuciter...alors la gesticulation du désarroi...

  • Les femmes qui se hâtent seraient-elles des femmes qui fuient ?

  • Blanche Dubois quoi

  • Oui !...

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