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Luc Besson

  • MECHANTS

    Pour les liens du vendredi, on peut se diriger vers la critique délicieusement hargneuse de Vincent Malausa sur le "film" de Berry/Besson publiée par Chronicart, ou lire la plume assassine de Charles de Zohiloff (le lien à gauche pour le blog Kühe) sur les compromissions consanguines d'un certain cinéma français, celui en général qui prétend faire la leçon.

    Sinon, pour rester dans la méchanceté, Cinématique inaugurera Lundi la "semaine Nabe" avec un long texte sur le prodigieux Homme qui arrêta d'écrire, découpé en cinq pour faire durer le plaisir.

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  • TROMPE L'OEIL

    Le lecteur peut se demander quelle distinction je fais entre la féminité vraie et la mascarade. En fait, je ne prétends pas qu’une telle différence existe. Que la féminité soit fondamentale ou superficielle, elle est toujours la même chose. (Joan rivière, La féminité en tant que mascarade, 1929, cité ici)

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    Une femme qui a un amant est un ange, une femme qui a deux amants est un monstre, une femme qui a trois amants est une femme. (Victor Hugo)

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  • ARRIERE PENSEE

    A regarder brièvement hier soir l'éprouvant carrousel de l'association Jeunet/Caro, pétomanes et enlumineurs de premier choix, soit La cité des enfants perdus, on ne pouvait s'empêcher de remarquer que ces tribulations d'une fillette et d'un grand type maladroit avaient un air de déjà-vu, très comparables en effet à celles dépeintes dans le Léon de Besson.

    Plutôt que de s'inquiéter de cette pédophilie d'Epinal plus navrante que dangereuse, il fallait peut-être voir ces duos comme l'illustration gauche et pesante des relations que ces cinéastes mal dégrossis entretiennent avec leur public enfantin, mélange de séduction grossière et de violence insidieuse, fatras alternant les boniments mortifères de méchants loups en peluche et les déambulations ennuyeuses entre les références en toc.

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