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pascal zamor

  • CINEMA POLITIQUE

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    Chères lectrices, chers lecteurs,
    Après l'Erotisme, la Mort et le Cinéma lui-même, voici un tout nouveau questionnaire cinéphilique qui, je l'espère, saura remporter tous vos suffrages. 
    Comme à l'accoutumée, je le laisserai quelques jours sans mes propres réponses, pour éviter toute espèce d'influence, avant de publier mes vingt propositions.
    Chacun est appelé à faire entendre sa voix.
    Toutes seront légitimes.
    Je m'engage à ce que chaque participation soit publiée sur Cinématique, et en toute transparence.
    Je fais confiance à la cinéphilie de mon lectorat.
    Même si l'on peut parfois se demander ce qu'il en reste, vive le Cinéma, et vive la France !
     
     
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    Dans les commentaires, successivement, les réponses de :

     
     
     
    Le prophète des huîtres
     
     
     
     
    maryke
     
     
    Ronan Ronin
     
    Nathan
     

    Damien (de sable)
     
     
    Raphaël Nuage
     
     
     
    Sur d'autres blogs :
     
     
    Céline P., sur Le journal cinéma du Dr Orlof, .
     
    Vincent, sur Inisfree, ici et .
     
    Sylvain, sur Ma pause café, ici.
     
    Fred MJG, sur Les nuits du chasseur de films, , là aussi, là encore, là enfin.

    Nolan et Antoine, sur De son coeur le vampire, ici.
     
    Gérard Courant, sur Le journal cinéma du Dr Orlof, .

    Alain Paucard, sur Le Journal du Dr Orlof, ici.

    Jérôme Leroy, sur Feu sur le quartier général, .

    Pascal Manuel Heu, sur Mister Arkadin, ici.

     

    *
     

    1) Quel film représente le mieux à vos yeux l'idéal démocratique ? 

    Tout l'irréalisme de cet idéal me paraît contenu dans Mr Smith au Sénat de Franck Capra, véritable brûlot contre tout ce qui se trame derrière le vocable étymologiquement mensonger de démocratie.

    2) Au cinéma, pour quel Roi avez-vous un faible ? 

    Pour le Roi Arthur d'Excalibur (Nigel Terry), et la façon avec laquelle John Boorman le transfigure au cours du film, le faisant passer successivement par des états d'insouciance, d'effarement, de colère ou d'abandon, avant qu'il n'acquière une pleine conscience de son rôle.

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    3) Quelle est la plus belle émeute, révolte ou révolution jamais filmée ? 

    Celle de la Commune de Peter Watkins.

    4) Si vous étiez ministre de la Culture, à quelle personnalité du cinéma remettriez-vous la Légion d'Honneur ? 
     
    Je commencerais par mettre un terme à cette mascarade.
     
    5) Au cinéma, quel est votre Empereur préféré ? 
     
    Si Abel Gance avait pu tourner la suite de son Napoléon (qui se clôt lors de la campagne d'Italie, en 1797, donc avant le sacre), Albert Dieudonné aurait très certainement été un empereur mémorable, tant il est prodigieux en Général Bonaparte. Mais Gance ne put jamais tourner les six parties qu'il ambitionnait... Les autres Napoléon n'ayant pas une grande envergure, autant se tourner vers les empereurs romains : fourbe et pervers, le Caligula de La Tunique (Joy Robinson) est extraordinaire.

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    6) Si vous étiez Ministre de la Culture, quel serait votre premier mesure, premier acte symbolique ou premiers mots d'un discours, concernant le cinéma ? 
     
    Je reverrais les critères artistiques du CNC afin de comprendre pourquoi tant de films français ineptes sortent chaque semaine, alors même que des cinéastes de la trempe de Jean-Claude Brisseau, Joël Séria, Jean-Pierre Mocky ou Jean Marboeuf ont tant de difficultés à boucler leur budget.
     
    7) Quel film vous semble, même involontairement, sur le fond ou sur la forme, d'inspiration fasciste ? 
     
    En dehors de sa période historique dûment authentifiée, le "fascisme" n'a jamais été autant mis à toutes les sauces qu'aujourd'hui, servant surtout à décridibiliser ceux qui ne jouent pas le jeu (pour mémoire, Starship Troopers de Verhoeven avait été à sa sortie qualifié de "film fasciste" !...). Si l'on se met d'accord sur quelques caractéristiques (la Force faisant loi, le groupe subjugué primant sur l'individu critique), on peut d'ailleurs trouver une coloration fasciste à de très nombreux films hollywoodiens, tous ceux notamment qui utilisent la Monoforme décrite par Peter Watkins, c'est-à-dire usant de diverses techniques de fascination afin de soumettre sans discussion. Autant donc revenir aux fondamentaux : le film le plus fasciste, et dans son propos et dans sa forme, est sans doute La Vieille Garde, d'Alessandro Blasetti (1934), décrivant une petite ville d'Italie juste avant la marche sur Rome.
     
    8) Quel est le meilleur film sur la lutte des classes ? 
     
    Sans doute le chef-d'oeuvre de Denys de la Patellière, Rue des prairies, qui n'est qu'en apparence un mélodrame familial.

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    9) Au cinéma, qui a le mieux incarné la République ?  
     
    Ce n'est pas pour rouvrir les débats entre les partisans de Danton et ceux de Robespierre, mais il me semble bien que le Danton de Robert Enrico (Klaus-Maria Brandauer), dans son film-fleuve mais tenu de bout en bout, La Révolution française, a une incontestable prestance et une belle rigueur républicaine.
     
    10) Quel film vous paraît le plus pertinent sur les coulisses du pouvoir dans le monde d'aujourd'hui? 
     
    La corruption et les compromissions du système politique ne sont plus, je crois, un secret pour personne. Dans sa veine comique (La gueule de l'autre de Pierre Tchernia) ou tragique (Mort d'un pourri de Georges Lautner), le cinéma français a su à une époque le montrer avec brio. Aujourd'hui cependant, le pouvoir semble davantage aux mains des financiers de toute obédience, et sur ce point Margin Call de JC Chandor est plutôt éloquent. Mais en amont de tout cela, ce qui gouverne vraiment les uns et les autres, ce qui fait et défait les empires, ne serait-ce pas plutôt l'immuable guerre des sexes ? Le film politique le plus pertinent de ces dernières années sur les processus de domination me semble alors bel et bien Choses secrètes de Jean-Claude Brisseau !
     
    11) L'anarchisme au cinéma, c'est qui ou quoi ? 
     
    Pascal Thomas, pour la liberté qu'il prend avec ses sujets et son absence de révérence au cinématographiquement correct.
     
    12) Quelle est la meilleure biographie filmée d'une femme ou d'un homme de pouvoir ? 
     
    Déjà cité, mais film (et cinéaste) exceptionnel : Hitler, un film d'Allemagne de Hans-Jürgen Syberberg.

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    13) De quelle femme ou quel homme de pouvoir, aimeriez-vous voir filmer la biographie ?   
     
    Jeanne d'Arc, Louis XI, Napoléon ou Staline attendent toujours un film à leur mesure.
     
    14) Au cinéma, quel personnage de fiction évoque le style des politiciens français suivants : Nicolas Sarkozy, François Hollande, Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen ? (vous pouvez en choisir d'autres) 
     
    Sarkozy : Rusé, manipulateur et dénué de scrupules, le Nabot dans toutes les séries Il était une fois... d'Alain Barillé
    Hollande : les différents rôles de Frank Morgan dans le Magicien d'Oz, ne pouvant empêcher tout un chacun de regarder derrière le rideau (où tout est faux).
    Mélenchon : roulant des yeux, haussant le ton, prenant des poses, mais aussi inoffensif qu'un Ewok.
    Marine Le Pen : telle la Méduse du Choc des Titans, tous la redoutent et la fuient mais tous finissent par converger vers son antre.

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    15) Quel film de propagande n'en est-il pas moins un grand film  ?
     
    Au début de la seconde Guerre mondiale, Michael Powell a tourné quelques films soutenant l'effort de guerre des Alliés. L'Espion Noir, avec le grand Conrad Veidt, est sans doute le moins manichéen et le plus émouvant d'entre eux.
     
    16) Quel a été pour vous, en France, le meilleur Ministre de la Culture ? Expliquez pourquoi en deux mots.  
     
    Quelle idée !
     
    17) Quel est le meilleur « film de procès » 
     
    Ma préférence va plutôt aux films qui, soudain, contiennent une séquence de procès venant de façon inattendue empiéter sur le récit, nous imposant son rythme et ses codes. Comme dans le très brillant Eureka de Nicolas Roeg.
     
    18) Quel film vous paraît le plus lucide sur le quatrième pouvoir (les medias) ? 
     
    Sur la mesquinerie, la lâcheté et la cupidité des journalistes en général, Le Gouffre aux chimères de Billy Wilder est remarquable. Mais pour ce qui est des collusions de la "démocratie médiatico-parlementaire" (Kacem), je ne vois vraiment pas. Il serait peut-être temps qu'un film de fiction brode sur Les nouveaux chiens de garde d'Halimi. 
     
    19) Citez un film que vous aimez et qui vous semble assurément « de droite ». 
     
    Le problème, bien évidemment, c'est qu'il y a droite et droite. Conservateurs bougons et libéraux échevelés, défenseurs du monde d'avant et capitalistes sans mémoire... (quelques mots à ce propos, ici). Si l'on admet que la droite digne de ce nom est celle qui préfèrera toujours les communautés et leurs cadres traditionnels, aux déstructurations de la modernité et à l'hyperindividualisme qui en découle, alors Les Raisins de la colère de John Ford, implacable charge contre les ravages de l'idéologie de progrès, est sans doute l'un des plus beaux films de droite.
     
    20) Citez un film que vous aimez et qui vous semble certainement « de gauche ».
     
    Il y a également gauche et gauche. La libertaire étant le plus souvent celle qui sait le mieux faire le jeu des libéraux. Mais il y aussi une gauche qui n'a pas oublié... les oubliés du système. Certainement alors, la Commune de Peter Watkins, où les "acteurs" du film ont justement été choisis parmi ceux qui pourraient, aujourd'hui, se soulever, et qui fait sans cesse un va-et-vient troublant entre la fiction et la réalité, inventant ainsi une sorte de cinéma participatif, est un grand film de gauche.

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  • RUINES CIRCULAIRES (3)

     

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    LM : Usant de la satire ou de l'indulgence, tantôt conservateurs et tantôt amoureux d'une certaine forme de modernité, vos écrits ne permettent pas aisément de cerner votre point de vue sur le fameux "monde qui va tel qu'il va" : pourriez vous nous en dire quelques mots ?

     PZ : Vous savez "le monde qui va...", une description très précise en a été faite par Marx dans les premières lignes du Capital, par un auteur comme Tocqueville, ou un romancier comme Stendhal (à propos de ce dernier je me permets de renvoyer à une de mes notes consacrées à cet auteur : http://ruinescirculaires.free.fr/index.php?2008/12/17/488-xxxx) et je ne vois pas trop quoi ajouter, j'ai conscience de mes limites, au constat fait par ces personnalités et d'autres...

    Que vous ne puissiez pas aisément cerner mon point de vue m'apparaît plutôt comme un compliment. Au fond ce qui me gêne le plus, c'est le caractère factice de la plupart des débats, quelque soit le sujet on sait d'avance ce qui va être dit, facticité qui résulte de ce que j'appellerai l'entre-soi. Chacun s'adresse à un autre qui n'est au fond que lui-même (les blogs sont d'ailleurs une manifestation de ce phénomène et il est difficile d'y échapper, et rien ne dit que j'y arrive moi-même). Au fond ce qui a été perdu avec la modernité, c'est le sentiment de l'irréductible : ce qui chez l'autre n'est pas réductible à moi, ce qui chez l'autre s'oppose. Je pense à cette belle phrase de Claude Lévi-Strauss tirée des Mythologiques : "La ressemblance n'existe pas en soi : elle n'est qu'un cas particulier de la différence, celui ou la différence tend vers zéro." Tout le discours commun sur la différence n'est qu'un discours sur la ressemblance et le système fonctionne non pas éliminant ses marges mais à la façon d'un maelström en les replaçant en son centre.

    Ceci dit prenons garde de tomber dans les affirmations définitives. En octobre 1916, alors qu'il se trouvait en Afrique, Céline écrit à son amie Simone Saintu à propos du "monde tel qu'il va, tel qu'il est allé, tel qu'il ira": "Toute opinion sur d'aussi énormes transformations devient forcément emphatique et solennelle, et je hais le solennel – il convient mal à des organismes dont la durée moyenne est de 43 ans." Même si nous avons gagné une quarantaine d'années supplémentaires, je crois pouvoir dire, en guise de conclusion que, à l'instar de Céline, je n'aime guère le solennel.

     (A suivre)

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  • RUINES CIRCULAIRES (2)

    Nous avons donc posé quelques questions à l’inventeur de ces passionnants labyrinthes : 

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    LM : Pour commencer de but en blanc, avez-vous aujourd’hui les mêmes préférences qu’autrefois pour l’organisation de vos derniers moments ?

    PZ : Tout d'abord permettez-moi de vous remercier pour votre texte de présentation. Le blog est pour moi comme un genre mineur, mineur devant être compris comme un genre en soi, de la même manière que par exemple Vivant Denon, l'auteur de Point de lendemain, est un auteur mineur ou Don Weiss à qui l'on doit Les aventures d'Haji Baba un cinéaste mineur.Ceci posé, le blog doit alors, me semble-t-il, obéir à certaines règles : des textes relativement courts, la mise en relation d'une certaine forme de subjectivité affichée et d'un contenu plus objectif. L'équilibre est assez difficile à tenir, et l'écueil est de tomber dans la mise en avant d'un égo qui n'intéresse personne ou dans une production de textes, qui s'ils peuvent être intéressants, ressortent plutôt d'un travail universitaire ou bien, c'est le pire, du simple journalisme.

    Maintenant pour répondre plus directement à votre question, je dois avouer que je ne changerai pas grand chose à ce programme... L'idée étant de mettre un intervalle entre sa propre vie et sa mort (on retrouve cette formule dans les Mémoires de Saint-Simon), de retirer à cette dernière son caractère d'immédiateté et les œuvres et les auteurs que j'aimerai convoquer pour mes derniers instants me semblent, le point commun étant qu'ils manifestent une forme d’acquiescement à la vie, convenir parfaitement à cet effet.

    (A suivre)

     

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  • RUINES CIRCULAIRES (1)

    Cet entretien avec Pascal Zamor n'a malheureusement pu paraître dans la revue Eléments à laquelle il était initialement destiné. Le voici sur Cinématique, au décours de la présentation de son blog, "Ruines circulaires", qui elle en revanche est parue dans le dernier numéro.

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    Parmi les nombreux effets pervers d’Internet, on trouve en bonne place la réaction démesurée que suscite la médiocrité d’un grand nombre de blogs, pages personnelles qui ne cessent de gribouiller quelques ratures, de dérouler les coups de cœur non étayés et les coups de gueule consensuels, de lister soigneusement les produits de marque qu’ils sous-traitent «avec impertinence». Médiocrité satisfaite que certains ont décidé de contrer par d’interminables pensums, logorrhées indigestes qui dévoient le principe même du blog, journal éphémère supposant qu’on le veuille ou non, immédiateté et souci de relations, savant équilibre entre évanescence et réseau. A distance de ces textes fermés sur eux-mêmes, souvent ampoulés, rarement novateurs, aussi égotistes finalement que les régulières mises à jour des adulescents dysorthographiques qui forment le gros des troupes, certains blogueurs se démarquent par la notule subtile, la remarque éclairante, l’intuition saisissante et le rapprochement inédit. C’est le cas du blog « Ruines circulaires » de Pascal Zamor qui a su depuis quelques années retenir notre attention.

    Ecrit par un amateur éclairé de cinéma et de littérature, qui sans avoir l’air d’y toucher, sans jamais jouer au maître d’école ou au néophyte qu’il n’est pas, débusque sans ironie inopportune le ridicule du monde qui l’entoure et pointe sans malveillance mais sans hésitation, les travers de ceux qui le font tourner, ce journal n’est intime que par la bande et ne se contente jamais de proposer une simple compilation de critiques diverses. Alternant citations et extraits de films, évocations et souvenirs, de l’enfance en Guadeloupe aux déambulations parisiennes, de Hugo à Bresson, d’une série US au dernier Houellebecq, de Modiano au jazz et de Tina Aumont à Stéphane Audran, ces notules sont l’œuvre d’un « papiste athée », d’un « mélancolique hilare », sorte de mécontemporain pour reprendre le beau néologisme de Finkielkraut, qui de riches découvertes en mauvaises surprises, ne cesse de trouver du grain à moudre malgré ses dires. « L’immense avantage du monde qui va tel qu’il va, assure-t-il, c’est qu’il ne nous étonne plus. Sa prévisibilité est finalement assez reposante ». Cela n’empêche pas l’auteur de contredire à tout instant cette supposée platitude, qui n’est qu’un leurre de plus, dénichant sous son intitulé borgésien quantité de chemins de traverse et de passerelles érudites, dont on aura une idée en parcourant son « anthologie portative du fantastique en littérature », ou bien cette note brillante qui passe de Robert Altman à la série Lost, après un détour par Benjamin Constant et Tocqueville, qui aborde ainsi la question de la narration, de ses déchirures à sa maîtrise, dressant en quelques lignes un portrait évolutif de la machinerie hollywoodienne. Cet éclectisme raisonné apparaît on ne peut mieux dans l’une de ses toutes premières notes, il y a plus de cinq ans de cela, où il nous révélait le désir de passer ses derniers instants « en compagnie de Saint-Simon, de Borges et de Joyce, (de) revoir une fois de plus Rio Bravo, quelques films de Mizoguchi, et (d’) écouter La Jeune fille et la mort de Schubert ».

    (A suivre)

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  • LE REGARD ET LA VOIX

    La critique littéraire et cinématographique à l'honneur ce vendredi, avec ce texte sur Modiano, et ce point de vue sur le film d'Alain Fleischer autour des conversations de Godard.

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  • ROHMERIENS

    Les liens du vendredi, ce sont ces quelques textes, ici, ici aussi, , là encore, là enfin, qui ont tous en commun l'approche sensible de l'oeuvre rohmérien.

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