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C I N E M A T I Q U E - Page 36

  • OURANOPHOBIE

    La profusion de ces plans d'individus saisis par ce qui les surplombe en contrechamp n'est pas seulement le reflet d'une Amérique hantée par le fantasme de la punition divine ou l'anxiogène souvenir de tours effondrées.
    Quels qu'en soient les thèmes et les motifs, cette récurrente figure de style assigne aux personnages comme aux spectateurs leur place : en deçà.
    En deçà du récit qui les dispose comme des pions, de la fiction qui les ordonne comme des faits, de la technique mirobolante dont ils sont les faire-valoir ; en deçà de tout ce qui les assujetit pour leur bien, c'est-à-dire pour empêcher leur corps d'exulter à contre-temps ou leur esprit de prendre une distance qui soit autre que circonstancielle.
    Définitivement sous le joug chatoyant des formes sidérantes, la seule place qui leur soit, et qui nous soit, réservée.

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    (Une manoeuvre malencontreuse et non une envie subite de table rase a fait disparaître les notes de l'année 2008)

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  • LE RÉEL DÉCHIRÉ

    "L’Arrivée d’un train en gare de La Ciotat, des frères Lumière – l’effroi suscité chez les spectateurs d’alors – conséquence d’un puissant effet de réalité ? – plutôt celle d’un déchirement de la réalité – d’où surgit l’inconnu – il y a un dépaysement inhérent à l’image cinématographique – ce dépaysement est tout de suite là, dans le premier cadre filmé, quel que soit le degré de familiarité de son contenu – la reproduction technique ne conserve pas – non seulement elle génère une absence des choses reproduites – mais tout se passe comme si la fréquence des vingt-quatre photogrammes, la subtile vibration de leur rythme circadien entraînait l’affleurement d’une ou plusieurs autres dimensions – le réalisme constitutif du cinéma n’est pas documentaire, il ne témoigne ou ne confirme rien des apparences ni de leurs sens ; il est quantique – emprunt ou abus de langage, qu’importe, pour dire ce feuilleté d’états parallèles qui à la faveur de la projection crèvent la surface quotidienne, sans causer trace ni plaie, à la façon d’un stylet vénitien – qui, parce que réel, exclue la métaphysique et la magie au même titre que l’utopie et le rêve – qui soutient, au sens le plus matériel de fondations, ladite surface, tout en la contredisant point par point." (Jacques Sicard)

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    Yi yi, d'Edward Yang

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  • FILIGRANE

    "La plupart des réalisateurs et les trois quarts des gens qui recoivent des récompenses à Berlin ne manient la caméra que pour exister, et pas pour voir ce qu'on ne peut pas voir sans caméra. De même qu'un scientifique ne peut pas distinguer certaines choses sans microscope. Ou qu'un astronome ne voit pas certaines étoiles sans téléscope". (Jean-Luc Godard, Die Zeit, entretien de Novembre 2007)

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    La captive, de Chantal Akerman

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    The Grudge, de Takashi Shimizu

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  • CHOSES PUBLIQUES

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    Lured, de Douglas Sirk
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    En cas de malheur, de Claude Autant-Lara

    La modernité, c'est la pornographie de chacun intégrant l'érotisme de masse.
    C'est le plaisir accepté lorsque reproductible, honoré puique expliqué, promu parce qu'éventé.
    C'est le bien pour tous, ou rien.
    La modernité, c'est la piteuse actrice pour adultes, au regard neutralisé, qui se déclare amoureuse face caméra, plus obscène alors que dans une quelconque partie, filmée ou non.
    C'est l'échangiste interrompu par la Bourse sur son portable, et remettant son échange à plus tard.
    La modernité, c'est l'hésitation devenue taboue, le retrait hué et le filigrane spectaculaire.
    C'est l'explicitation intensive de toutes les esquisses, le nettoyage ministériel des ambiguïtés, l'éclairage Philippe Stark de l'alcôve.
    C'est le sex-toy au vingt-heures et Brisseau devant la justice.

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  • CAPITALISME ?

    Je vous propose aujourd'hui un texte de Jacques Sicard sur "Les promesses de l'ombre" qui pointe la dernière mutation à l'oeuvre chez Cronenberg :


    Longtemps, l’homme de Cronenberg eut quelque chose du faune : poitrine glabre et cul de bouc ; sa mutation, limitée à l’organique, maintenait fût-ce péniblement le même dans l’autre, conservait une dissemblance essentielle entre eux et d’abord par le moyen du langage. Longtemps, la phrase de cet homme ancien, comme n’importe quelle phrase, s’écrivit à côté des choses, fausse jumelle, même au comble de sa banalité, c’est-à-dire à son degré le plus haut d’intimité avec elles. Il n’était pas, ce fendu, ce divisé, cet homme au rat, commode à vivre.

    Mais la politique carnée de l’auteur de Faux semblants, parce que politique, devait fatalement recouper un jour la gestion fanatisée des affaires, et ainsi passer de la mutation physique à la transparence totale, à la libre circulation de toutes les qualités à travers tous les états unifiés de l’être (par exemple, non pas le bon et le mauvais, qui est tension, mais le bon dans le mauvais ou l’inverse, qui est collaboration) bref, une sorte de capitalisme ontologique ;

    passer du mot qui « est la mort de la chose » au tatouage qui l’exalte, à la peau comme page d’écriture, à la peau vivante comme page d’écriture non-symbolique, autrement dit qui ne la brûle pas, ne la brûle plus, mais dont la gravure vassale au contraire fait la publicité de l’empire du corps ; passer de l’homme au rat au roi des rats.


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    Les promesses de l'ombre, de David Cronenberg
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    Photographie de Jean-Baptiste Mondino

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  • TACT

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    Les promesses de l'ombre, de David Cronenberg

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    Lolita, de Stanley Kubrick


    S'il est possible de ne pas croire une seconde au personnage joué par Viggo Mortensen dans le dernier Cronenberg, alors même que les autres personnages malgré leur outrance codifiée, appliquent à la lettre une bipolarité des plus communes dans le cinéma de genre voire dans le cinéma tout court (le patriarche mafieux, débonnaire et dangereux ; la femme médecin, fragile et pugnace ; le chien fou, sensible et violent), c'est autant par la fausseté de son attitude, à la fois séductrice et maniérée, hors-genre, que du fait d'une mise en scène qui n'envisage les décadrages discrets (pas trop quand même, il faut rester propre), que
    dans l'unique but de le présenter.
    Il semble même que chacune de ses scènes, toujours à la limite de l'incongru, soit une scène de présentation (de son character) ainsi que d'exposition (de son corps), une sorte d'aphorisme visuel qui le caractérise mais surtout l'enferme dans des stéréotypes divers. Cronenberg le fait ainsi rapidement sortir du processus fictionnel pour l'installer ostensiblement comme matériau, comme hypothèse d'école, malléable à merci, à la manière d'un toon pour adultes égaré et virevoltant, comme tout droit sorti d'une publicité de Jean-Paul Gaultier pour parfum masculin.
    S'il donne ici ou là, machinalement, des gages à la tragédie familiale façon Gray ou à la paranoïa loufoque à la Polanski, Nicolaï, ses tatouages en témoignent de manière redondante, n'est qu'une image, particulièrement vulgaire, profane même, que l'on peut zébrer à satiété (alors que lui offre une image pieuse au moment le plus inattendu), c'est-à-dire un objet de désir forcément inassouvi, une virtualité qui ne peut que décevoir quel que soit le bout par lequel on la prend, une énigme sans code à déchiffrer autre que sa propre constitution sans cesse réinventée.
    Elle est le cinéma de Cronenberg, qui s'imaginant impoli, mêle (greffe) les genres impurs et les formes violentes sans jamais aboutir cependant à de l'hétérogène ou du différencié, à de la mise en perspective scandaleuse, mais toujours à du lisse, de l'homologué, de la subversion sans aspérité, moderne en tous points. Et ainsi l'homme brutal et appremment sans affect, dont les tatouages ne sont pas un historique mais une simulation, s'avère n'être qu'un policier infiltré, qui plus est plein de sollicitude.
    Ce personnage, cette image, ce cinéma ne peuvent véritablement être percés à jour, pénétrés, puisqu'ils n'offrent aucune prise malgré la sidération qu'ils encouragent. Ils sont la sphère chatoyante à l'intérieur de laquelle chacun voit ses désirs se réfléchir : un mafieux de confiance, une icône gay, une réflexion sur les transmutations corporelles et éthiques ; tout ce qu'elle ne contient en fait pas, mais présente bruyamment en devanture.
    Les autres personnages comme le spectateur peuvent alors toujours tenter de les modeler à leur idée, de les interpréter, de leur faire rendre gorge, leur évanescence, leur silence, leur absence n'en sont pas moins intolérables. Comment ne pas penser ici à la Lolita peinte par Kubrick, riche de possibilités qu'elle est bien incapable d'assumer, projection mentale sans consistance réelle, sans véritable enjeu ?

    Lorsqu'une image ne vous touche pas, il faut sans cesse la retoucher.

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  • FAUSSES FENETRES

    Il fut un temps où ce que l'on croyait avoir vu comptait moins que ce que l'on désirait voir, où les faits forcément mensongers avaient moins d'importance que les rêves toujours neufs.
    Et puis, vint le temps des pisteurs, de ceux qui à tout instant élucident. Il fallut à leur suite croire aux nouvelles, faire rendre gorge au moindre plan, pénétrer au fond du champ, là où la trappe enfin coulisse.
    Tout y était sans bavure, et sans plus la moindre échappée.

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    Le silence, d'Ingmar Bergman

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    Première désillusion, de Carol Reed

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  • PREDATION

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    "De conin, qui signifiait lapin en vieux français, mais désignait également le sexe féminin, ne demeure que le con. On a remplacé lapin par chatte. Le sexe est devenu carnivore." (Roland Topor, Pense-bêtes, 1993)

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  • IN MEMORIAM

    Tantôt le visage immobile et le regard doux, réprimant d'un frémissement du cou l'élan qui l'aurait fait rougir, tantôt gamine facétieuse, garçon manqué clignant de l'oeil mais trahi par de trop longs cils, elle était comme Moira Shearer de ces rousses tout ensemble réservées et ardentes.
    Bousculés sans cesse par des sentiments contradictoires, jamais déraisonnables et pourtant passionnés, ses personnages savaient mieux que personne donner à voir le tumulte du coeur et du temps trop vite passé.
    Si je ne devais retenir qu'ne chose de Deborah Kerr, ce serait ce geste de la main, presque identique des Innocents au Narcisse noir, si pudique malgré l'horreur, si élégamment féminin en plein coeur de l'effroi.

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  • LABYRINTHE

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    Absent une semaine, voici quelques liens pour les infatigables habitués de "Cinématique" :

    Le cinéma tout d'abord, avec une remarquable mise au point sur "Notre musique", une bien belle revue , un peu de Fritz Lang pas trop formaté ici et parce qu'il vaut mieux en rire, ceci.

    Pour le reste, tous ceux qui ont retrouvé avec amertume ou colère, des phrases à la virgule près voire des titres de chapitres à l'intérieur d'ouvrages de "gensdelettres" bien installés ou en cours d'intronisation, quelques mois ou années après l'envoi naïf de leur manuscrit par la poste, sauront ce que peut ressentir Alina Reyes qui prouve, après Camille Laurens et quelques autres écrivains sensibles, que personne n'est à l'abri du pillage : c'est et c'est sans appel.

    Perspectives aiguës au Café, sur cette note cinématique en diable.

    Sinon, pour finir sur une pointe d'exaspération, j'observe que tout comme ces couturiers et ces "figures politiques de premier plan" venant se pousser du coude à l'exposition "Dada", tout comme Sollers baisant les pieds de Debord, Christophe Honoré claironnant Eustache, des blogs couverts de pin's, de lampions et de clignotants, fébriles à l'idée de vendre un coussin péteur en l'honneur du Darfour, osent, toute honte bue, parler de pataphysique ou d'écriture de roman...

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  • LES ENVOUTES

    Nouvelle joute entre ceux qui crèveraient à l'idée de ne plus écrire, car chaque mot jeté sur le papier laisse une trace à l'intérieur d'eux-mêmes, et ceux qui tremblant de ne pas être lus, fomentent des coups.
    Après la digne colère de Camille Laurens (qui n'est désormais plus lisible gratuitement sur la Toile mais qu'il est possible de se procurer ici), l'âpre démonstration d'Alina Reyes (chez le Stalker en synthèse et chez elle en détails) vient confirmer qu'Haenel comme Darrieussecq, ces petits tant soutenus, font de leurs fétiches volés des masques auxquels ils croient.

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    Persona, d'Ingmar Bergman

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  • ANTI-MODERNITE

    Herman Melville ayant su inspirer les réalisateurs les plus sensibles, de Huston à Carax, il était presque dans l'ordre des choses que Maurice Ronet, à son tour, soit touché.
    C'est son adaptation émouvante de Bartleby qui a inspiré à Jacques Sicard ces quelques lignes inédites, que l'on croirait écrites pour Olmi.

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    "Etre un scribe. En avoir le visage, comme un écran de cinéma qui accueille tout et ne retient rien. S’appeler Bartleby ou pas. Etre un employé de bureau. Devenir jour après jour le copiste d’une besogne dont l’accomplissement ne réclame que la colonne vertébrale, une chaise, un rond de cuir. Se vouloir le plumitif consciencieux de la paperasse qui n’épuise que les gestes réflexes et laisse libre le cerveau. Fatigue les nerfs inférieurs mais ne touche pas à la pensée. La pensée dans sa vacance primordiale, lorsqu’elle est encore sans objet, n’est qu’une vacance qui s’étend. S’enfoncer dans le plus rebutant pensum salarié et, du même coup, ouvrir, entre ses quatre murs finis, l’indéfini de cette étendue. Et y verser son poison. Ce qu’a de mauvais en soi la faculté de connaître, stérile comme une région saline. Plus nuisible d’être maintenue dans sa native vacuité, et d’abord à l’ignominieuse boutique dont on aura docile un temps tenu le greffe des minutes sonnantes et trébuchantes. Faire en sorte que cela aille très vite et bientôt ne plus rien sentir. Que la battue du temps qui toujours retourne la terre fraîche, calmement fossoie, même au cœur de l’apparente tête vide. Mais avec tant de peine alors, qu’on en entend l’ahan."

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  • RETROVISEUR

    Les formes n'obsèdent que ceux qui les hantent. Les images n'asservissent que ceux qui les masquent.

    Des cheveux trop fins, trop blonds, un rire arrêté, le manteau gris souris sur la plage bruineuse.
    L'enfance qui revient lancinante, juste pour rien.
    De l'emphase et des embrassades, de beaux projets, des étoiles plein la vue.
    De quel droit m'as-tu tant porté ?
    Dans une coquille de noix, le royaume de ce monde, et puis le talon qui claque, éparpillant d'un coup ce qu'on avait bâti à force de réveils en nage.
    On m'a tout donné et je n'ai rien laissé.
    Ceux qui ne m'ont pas loué peuvent aller se faire pendre, car j'ai tout oublié de ce qui nous distingue.
    Le temps a passé et personne n'a moufté.

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    Bunny Lake a disparu, d'Otto Preminger

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  • QUESTIONS

    A l'initiative du blog Nightswimming, quelques questions rapides et quelques réponses pressées.

    1- Plaisir inavouable : L’île aux trente cercueils(Marcel Cravenne) et les films avec Marylin Jess.

    2- Classique ennuyeux : Blow up (Antonioni) malgré tout le bien que je pense de ce réalisateur et les admirables déclinaisons proposées par de Palma ou Argento.

    3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : le cinéma de David Lean.

    4- Chef d'oeuvre méconnu : Allonsanfan (les Taviani)

    5- Navet génial : Sailor et Lula (Lynch)

    6- Films détestables : Sitcom (Ozon), Rois et reines (Desplechin), 21 grammes (Inarritu), Collision (Haggis), Tout sur ma mère (Almodovar), Munich (Spielberg)...

    7- Pleurer à chaque fois : Les lumières de la ville (Chaplin), Sweet sixteen (Loach), Pain et chocolat (Brusati)

    8- Mourir de rire à chaque fois : A part Europa de Lars von trier, chacun des films joués ou réalisés par Jean-Marc Barr.

    9- Etre émoustillé à chaque fois : Donna Reed dans La vie est belle (Capra) ; Marylin Monroe dans La rivière sans retour (Preminger), Regina Hall dans Secret Paris (Andrew Blake) ; Juliette Binoche dans Le Hussard sur le toit (Rappeneau), Magali Noël dans Amacord (Fellini)...

    10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : depuis 1995, ni l’un ni l’autre.

    11- Cinéastes trop vantés : Eastwood/ Lynch/ Moretti/Truffaut/Honoré...

    12- Sainte trinité : Rohmer/Loach/Bresson (mais en bon lecteur d'Abellio, je vous propose plutôt un sénaire-septénaire, en ajoutant Fellini/Greenaway/Franju puis chapeautant les 6, Godard).

    13-Entrée en cinéphilie : Mauvais sang de Léos Carax (1986)

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